Ce n'est qu'un au revoir
Je suis venue vous dire que je m'en vais.
Vos sanglots longs n'y pourront rien changer...
Rassurez-vous, pendant cette période de blog buissonnier, vous aurez encore votre recette quotidienne. Merci Canalblog et son système de billets programmables.
Yeah ! Il y a un homme qui m'emmène en vacances. A moi la Côte d'Azur, la farniente sur la plage au soleil face à la Méditerranée !
Ah ! En fait, on me dit que c'est sur les bords de la Saône que nous partons. Dans un village de 438 habitants. Mais ! On remplit même pas un immeuble avec si peu de gens. Et nous ne serons pas dans le village mais un hameau plus loin. Le désert. Pas la peine que je demande s'il y a un Auchan dans le coin, il n'y aura que des champs, des champs à perte de vue. Les joies de la campagne, le chant du coq, les vaches qui meuglent, les tracteurs...
Vais-je réussir à m'acclimater ? Le parfum des pots d'échappement, la musique des moteurs, les torrents de badauds dans les rues, etc ... comment vivre sans ? Enfin, qui vivra, verra.
Un doute me vient toutefois. Il paraît que ce n'est pas très loin du Morvan. Bon, je vais prendre mes précautions. J'emporte mon appareil photo avec des instructions collées dessus. Ainsi, si je fais une mauvaise rencontre, après L'assiette de Ciorane la pauvresse, vous aurez Le festin de la bête du Gévaudan.
Profitez de votre été et bonne cuisine à vous,